🔖 Excerpt from Annales de Chimie Et de Physique, 1853, Vol. 38Ce fait est bien constaté pour l'alumine le sesquioxyde de fer, lorsqu'on veut les séparer dela chaux de la magnésic, du manganèse etc. Et même de la potasse. MM. Rivot et Bouquet (i), dans leur travail si précis sur l'analyse des lai to'ns ont fait voir combien cet inconvénient est grave dans l'emploi des sulfures pour la séparation des métaux. En y regardant de près, les chimistes se convaincront que ce ne sont pas là des cas exceptionnels, et ils pourront vérifier l'énoncé général que je viens de donner. Il est difficile de dire à quel état se trouvent l'une par rapport à l'autre la matière précipitée et la matière entraînée mais on peut les comparer au charbon animal et à une matière oelorante qui certainement, ne se combinent pas entre eux à la ma nière des composés bien définis. Ce sont ces faits que M. Chevreul fait dépendre de l'aflinité capillaire.Les nouvelles méthodes que je pr0pose sont destinées à faire éviter les inconvénients divers que présentent la voie humide et la voie sèche. L'emploie des calcinations à tempé rature modérée toujours comprises entre le point d'ébulli tion de l'eau et la température à laquelle les sesquioxydes perdent leur solubilité dans les acides. Dans ces limites la résistance àla décomposition que présentent les sels métal liques convenablement choisis permet d'isoler les oxydes avec une rigueur surprenante et l'on n'a ...