📓 Excerpt from Les Nationalités: Essai de Philosophie Politique, Traduit de l'EspagnolLa révolution de septembre ayant éclaté, les Cortès constituantes furent convoquées; le vote spontané de Barcelone rappela Pi y Margall en Espagne. Ses se mences avaient germé; ses idées étaient devenues, un peu promptement peut-être, le programme du parti républicain espagnol, un peu promptement, parce que beaucoup se trouvèrent les avoir acceptées d'em blee, sans les avoir approfondies, sans se les étre assi milées; ce qui exposa la république fédérale aux aven tures dans lesquelles elle a sombré. Si, par bonheur, le livre des Nationalités eût paru avant la Révolution, la mal-entente qui divise le parti fédéraliste ne se fût pas sans doute produite, et les dissidences, inévitables au début d'une doqtrine insulfisamment connue et encore inexpérimentée, se fussent conciliées en un parti com pacte et décidé pour une action commune. Nous ne nous sentons pas assez libre pour raconter cette période d'agitation qui, malgré tout, aura été féconde; qui, sur tout, ls sera: car c'est d'elle que datera l' Espagne nou velle, qui démentira bientôt les prophètes de désespoir, toujours prompts à annoncer la mort des peuples.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstr...