📓 Книга "Les deux crimes de Thècle".
«... Comme je rentrais, fort troublée, je songeai, en passant près de la voiture de M. Pontet, que celui-ci avait dû être appelé par sa sœur pour prêter main-forte à Saturnin dans ce transport. Car autrement, si les choses s’étaient passées comme elle le prétendait, qu’avait-elle besoin de sa présence ? Elle n’avait du reste pas fait allusion à cet appel, comme si cette visite était fortuite ainsi qu’à l’ordinaire.Je me gardai de dire mot à Sylvine de mes soupçons. Mais l’atmosphère de cette demeure devenait pour moi de plus en plus lourde. J’aspirais à confier à mes amis Paviers ce que je venais de découvrir. Il y aurait là, certainement, de quoi servir la cause de Thècle et de Sylvine...»